Les Royaumes Oubliés Forum de RP sur le monde des RO |
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| Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante | |
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Auteur | Message |
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Kaim Balmore Fey'ri de niveau 0
Nombre de messages : 27 Age du perso : 98ans Travail : sans emploi Date d'inscription : 07/07/2008
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mer 23 Juil - 1:47 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cuillete des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un asteroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaint a loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
Nombre de messages : 216 Age : 35 Localisation : Desert de Mulhorande Age du perso : 22ans Travail : Assistant écclésiastique Date d'inscription : 30/03/2008
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mar 29 Juil - 22:51 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cuillete des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un asteroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaint a loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire
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| | | Prodomo Mereel Humain de niveau 0
Nombre de messages : 131 Localisation : La Côte des Dragons Age du perso : 19ans Travail : aucun Date d'inscription : 06/04/2008
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mar 29 Juil - 23:03 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cuillete des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un asteroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaint a loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
Nombre de messages : 216 Age : 35 Localisation : Desert de Mulhorande Age du perso : 22ans Travail : Assistant écclésiastique Date d'inscription : 30/03/2008
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Lun 4 Aoû - 16:56 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cuillete des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un asteroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaint a loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Dim 5 Avr - 14:42 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cuillete des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Dim 5 Avr - 17:28 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cuillete des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Lun 6 Avr - 23:59 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cuillete des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mer 8 Avr - 22:32 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cuillete des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
Nombre de messages : 119 Age du perso : 20 ans Travail : aucun Date d'inscription : 04/04/2008
Feuille de personnage Point de Vie: (7/7) Point d'Expérience: (0/500) Classe: /
| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Jeu 9 Avr - 0:26 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre | |
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Jeu 9 Avr - 2:11 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Lun 13 Avr - 21:14 | |
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Jeu 16 Avr - 18:17 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes | |
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Sam 25 Avr - 18:28 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille | |
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Dim 26 Avr - 21:38 | |
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Jeu 30 Avr - 22:30 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. | |
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Ven 1 Mai - 15:15 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement | |
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Dim 3 Mai - 17:32 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Jeu 7 Mai - 14:15 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Ven 8 Mai - 0:13 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance | |
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Ven 8 Mai - 1:19 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance ce qui fit bonne figure
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Ven 8 Mai - 2:50 | |
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Sam 9 Mai - 10:39 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâti comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. | |
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mer 20 Mai - 19:47 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Jeu 21 Mai - 19:14 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo | |
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Sam 23 Mai - 14:37 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin pret à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'emiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, | |
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