Les Royaumes Oubliés
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 Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante

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Tali Ashen
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Kaéryelh Wyûhzem
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Kaéryelh Wyûhzem


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MessageSujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante   Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante - Page 10 Icon_minitimeSam 17 Oct - 14:36

Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart
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Xéllérion Parresias
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Xéllérion Parresias


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MessageSujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante   Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante - Page 10 Icon_minitimeDim 18 Oct - 10:14

Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement
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Kaéryelh Wyûhzem
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MessageSujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante   Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante - Page 10 Icon_minitimeDim 18 Oct - 20:41

Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint
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MessageSujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante   Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante - Page 10 Icon_minitimeVen 23 Oct - 14:26

Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver
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Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans
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Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux
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Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
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Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
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Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de
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Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de Canada dry
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Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de Canada dry, qu'une pure conséquence de la
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Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de Canada dry, qu'une pure conséquence de la quiescence des paresseux
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Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de Canada dry, qu'une pure conséquence de la quiescence des paresseux frelons verts
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Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de Canada dry, qu'une pure conséquence de la quiescence des paresseux frelons verts qui se frottaient le dard
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Kaéryelh Wyûhzem
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Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
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Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de Canada dry, qu'une pure conséquence de la quiescence des paresseux frelons verts qui se frottaient le dard, non sans un certain plaisir, afin de se connecter
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Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de Canada dry, qu'une pure conséquence de la quiescence des paresseux frelons verts qui se frottaient le dard, non sans un certain plaisir, afin de se connecter, via le tout nouveau
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Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de Canada dry, qu'une pure conséquence de la quiescence des paresseux frelons verts qui se frottaient le dard, non sans un certain plaisir, afin de se connecter, via le tout nouveau reseau ferroviaires
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MessageSujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante   Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante - Page 10 Icon_minitimeSam 16 Jan - 17:13

Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
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MessageSujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante   Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante - Page 10 Icon_minitimeLun 18 Jan - 22:53

Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de Canada dry, qu'une pure conséquence de la quiescence des paresseux frelons verts qui se frottaient le dard, non sans un certain plaisir, afin de se connecter, via le tout nouveau réseau ferroviaire inter-galactique pour en extraire LA mixture.
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MessageSujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante   Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante - Page 10 Icon_minitimeSam 23 Jan - 16:45

Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de Canada dry, qu'une pure conséquence de la quiescence des paresseux frelons verts qui se frottaient le dard, non sans un certain plaisir, afin de se connecter, via le tout nouveau réseau ferroviaire inter-galactique pour en extraire LA mixture. En effet, il faut
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MessageSujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante   Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante - Page 10 Icon_minitimeDim 24 Jan - 12:09

Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de Canada dry, qu'une pure conséquence de la quiescence des paresseux frelons verts qui se frottaient le dard, non sans un certain plaisir, afin de se connecter, via le tout nouveau réseau ferroviaire inter-galactique pour en extraire LA mixture. En effet, il faut maintenant touiller
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Kaéryelh Wyûhzem
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Kaéryelh Wyûhzem


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MessageSujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante   Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante - Page 10 Icon_minitimeLun 15 Fév - 23:24

Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de Canada dry, qu'une pure conséquence de la quiescence des paresseux frelons verts qui se frottaient le dard, non sans un certain plaisir, afin de se connecter, via le tout nouveau réseau ferroviaire inter-galactique pour en extraire LA mixture. En effet, il faut maintenant touiller (dans le sens des aiguilles d'une montre)
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Xéllérion Parresias
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Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de Canada dry, qu'une pure conséquence de la quiescence des paresseux frelons verts qui se frottaient le dard, non sans un certain plaisir, afin de se connecter, via le tout nouveau réseau ferroviaire inter-galactique pour en extraire LA mixture. En effet, il faut maintenant touiller (dans le sens des aiguilles d'une montre) pour faire apparaître
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Kaéryelh Wyûhzem
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MessageSujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante   Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante - Page 10 Icon_minitimeSam 20 Fév - 15:24

Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle-ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoté mamy Huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques !
Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets.
Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'apprêtait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer la fragilité de l'étoffe écossaise (fabriquée sur Jupiter) qui devait servir au futur tournage de "Pinces moi, je rêve !". Ce film fut d'ailleurs un beau navet, récompensé lors du Mondial de Jardiland dans la catégorie "meilleur adventice " : le réalisateur avait pour cela retourné son canapé cultivé dans dans un ventilateur à dopamine, ce qui ne facilitait pas la dératisation de paquets de chips (saveur pissenlit-fromage) toujours en fuite.
Mais revenons à pied de biche sur cette effraction d'un trognon de la reine-claude, qui n'avait plus mal au derrière (pour des raisons assez particulières liées à la révolution des morpions-troufions, qui ne savaient rien des parties de poker qui avaient lieu au temple de " Old Elm "). Et en dépit de la recette du Flan-de-Mars, on n'avait pas annulé le clonage des bryophytes de l'ère prim'air waves, ce qui endetta sérieusement Bart Simp(le) (Per)son : il fut alors contraint de cultiver ses neurones sans sèche cheveux fabriqué à Socotra ! Ce qui n'était, d'après le décret de Canada dry, qu'une pure conséquence de la quiescence des paresseux frelons verts qui se frottaient le dard, non sans un certain plaisir, afin de se connecter, via le tout nouveau réseau ferroviaire inter-galactique pour en extraire LA mixture. En effet, il faut maintenant touiller (dans le sens des aiguilles d'une montre) pour faire apparaître des cookies
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