Des poules, des chèvres et un ange.

Les érrances du jeune aasimar le menèrent sur les routes de la Mulhorande, terres où ses paires pouvaient prospérer et qui était le plus lié au plan céleste. La chaleure intence de la région, ses longues routes vides de vie et ses paysages dégagés pouvaient parfois peser sur la solitude de Xéllérion. Pourtant ce dernier n'en demordait pas et continuait son périple, marquant quelque pause chez l'habitants, c'est dernier ravi pour la plus part de voir les vestiges de leur grandeur passée et de leur ascendance divine.
Néanmoins, sans équipement particulier, le planaire se voyait affaibli, désidraté et fatigué. Seul la force de ses convictions lui permettaient de mettre un pas devant l'autre. Sa constitution et sa forme physique était mises à rude épreuve, mais il tenait debout et le sable qui foulait ses sandales de cuir usée ne venait pas encore mordre son visage.
Le soleil haut dans le ciel cognait sur sa chevelure dorée qui lui semblait ardante à cet instant et sa peau prenait un aspect cuivré tant les rayons solaires l'assaillaient. Pourtant Xéllérion aimait cette lumière, et c'était les nuits glaciales de l'est de la Mulhorande qu'il redoutait. Heureusement on lui avait expliqué comment survivre dans ces conditions : il fallait creuser un trou dans le sable chaud avant le coucher du soleil, relativement profond, et s'enfouir à l'interieur pour ne pas être victime des températures nocturnes.
Comme la providence était de son côté, et que malgrès les conditions, le jeune aasimar s'était donné la peine de prier quatre fois par jour comme il était la coutume de le faire, les dieux lui repondirent. A l'horizon se dessinait un village et quelques arbres, à n'en pas douter cela devait être une oasis organisée. Il s'agissait d'une sorte de point d'étape sur la route principal qu'il empreintait. Celle ci même avait été dessiné en fonction de ces oasis, pour permettre à des convois de se rendre d'un point à un autre en une journée. Bien sûr, à pied les choses étaient plus compliquées.
La joie qu'il éprouvait à cette bénédiction divine le fit redoubler d'effort et son pas s'accéléra. Même s'il était exténué et ses muscles en feu, sa gorge séche et sa peau craquelée, il parvenait à dépasser ses limites et à traverser la distance qui le séparait du village. Au bout de quelques heures, le village se détailla, et bien que petit, il savait que les habitants l'accueilleraient et qu'il pourrait se reposer auprès de l'oasis.
Il arriva près des batisses et put distinguer plusieurs chèvres, un nombre incalculable de poules et quelques mulhorandes. Ils l'observèrent avec étonement, ils crurent certainement qu'un ange était venu à eux, mais ils comprirent vite à son aspect que l'enfant céleste était en fait arrivé par la route. Ce dernier leur offrit un sourire aimable, puis prit de vertige sombra dans les ténèbres de son inconscience.

Xéllérion se reveilla en sursaut. Il était nu sur un lit de paille, des poules chahutaient non loin de lui et surtout : une chèvre était entrain de lécher son corp. Effectivement quelqu'un l'avait recouvert d'une patte laiteuse sur presque tout le corp, ses cheveux semblaient humide et sa bouche réhydratée. A priori on s'était occupé de lui pendant sa perte de conscience.
Ses habits n'étaient pas à ses côtés, mais une toge blanche, fraîche et propre l'attendait près d'une bassine d'eau. Probablement l'avait on remplit dans l'idée qu'il s'y nettoirait afin d'enlever cette substance curieuse. A l'exterieur de la case, il faisait un faible jour, peut être avait il dormi près d'une journée. Ce qui était sûr c'était qu'il se sentait mieux, bien que ses muscles étaient encore faibles et ses lèvres gércées.

L'aasimar avait épuisé ce qui lui restait de vitalité pour annoncer avec ce sourire qu'il venait en paix. Bien qu'en en plein jour, un voile nocturne recouvra son esprit, son corps avait supporté bien des épreuves pour une seule journée et son évanouissement préserva le jeune aventurier. Il n'agissait plus, ne réflechissait plus, ce sanctuaire le gardait de faire un quelconque effort pour ne pas le surmener de trop. Il se laissait aller, il en avait besoin, et se revigorifait à mesure qu'il se reposait. L'aasimar s'échapa de son état d'inconscience, comme s'il avait été rappelé à l'ordre. Il ouvra doucement les yeux pour ne pas être trop brusque, des contours se dessinaient, les objets prenaient et le flou se dissipa. Il reprenait lentement le controle de ses membres qui semblaient encore engourdis mais resta allongé. Il tourna la tête à droite et à gauche pour distinguer une éventuelle présence tandis qu'un mal de tête le prenait d'assaut.

- S'il vous plait...que ce passe t-il ? Où suis-je ?

Il parlait d'une voix faible et incertaine, à vrai dire, il était perdu.

* Tous ces tambours dans ma tête... ne cesseront-ils jamais !? Aidez moi, je vous en supplie...*

edit Tali : les action en italique, les pensés entre ** et je trouve plus sympa quand les paroles des personnages sont... personnalisés. A toi de voir.

Seul un bément de chèvre lui répondit. L'animal était grimpé sur une botte de foin et semblait s'attaquer à une corde en chanvre retenant l'ensemble des bottes. Les yeux de l'aasimar se racordèrent pour distinguer convenablement chaques choses dans la salle. Il put rapidement constater qu'il se trouver dans une écurie, probablement l'endroit où les gens de passage laissaient leurs destriers et leur véhicule.
L'endroit avait été très rapidement emmenagé, certainement pour sa personne, et ne disposait du minimum. Son matelat improvisé, une bassine d'eau et un vêtement. Les animaux du coin étaient rentrés car il n'y avait pas de porte à l'entrée de l'édifice de bois. L'odeur n'était pas trop dérangeante, mais quelque chose lui faisait tirer le nez.
Il ne s'agissait pas des animaux, ni du foin. Il chercha un instant et presque immédiatement il comprit que c'était cette étrange pate qui dégageait une odeur curieuse. Xéllérion tenta de distinguer les éléments qui la composait mais abandonna, il n'était pas alchimiste ou guerisseur et peut être moins encore cuisinier.

Xéllérion repoussa l'animal qui était en train de le lécher, c'était tout ce qu'il y avait de plus désagréable, et puis l’espace n’avait pas l’air de manquer ainsi que la nourriture, de plus une cuvette d’eau était présente mais l’animal avait décidemment fait son choix. Cependant il fut amusé par ce mouton qu'il qualifia de rebel, après tant d’acharnement sur la même corde il ne parvenait pas à son but et ce n’était pas faute d’avoir essayé, celui-ci savait ce qu’il voulait. Ce dernier le réconcilia avec les animaux qui l’entouraient, il mettait un peu de gaieté dans l’esprit de l’aasimar ce qui n’était pas de refus. Bien qu’il ne savait pas exactement où il était, cette once de joie le rassura, il sentait une certaine convivialité à travers ces animaux, ils donnaient l’impression d’être en bonne santé, leur maître devait être un fort gentilhomme.
Il se mit en position assise au bord de son matelas, y resta un moment comme pour retourner dans le monde réelle, s’évader de ses pensées et buva en portant ses mains jointe pour contenir l'eau dans la bassine qu'on avait visiblement mis à sa disposition puis répéta son geste mais cette fois pour se débarbouiller la figure et le corps, il s'était au préalable débarrassé les mains de la chose avec laquelle on l'avait enduit. Celle-ci non plus n’était pas la chose la plus rassurante qu’on lui ait donné de voir mais elle l’avait apaisé et certainement aidé à se remettre de ses émotions, ces effets en étaient donc louables bien que l’odeur laissait vraiment à désirer. De tout manière si les personnes qui l’avaient avaient voulu attenter à sa vie il ne serait sans doute plus là pour y penser.
Il balaya du regard l'écurie mais ses vêtement ne semblaient pas s'y trouver il enfila alors la toge blanche qui avait été prévu à cet effet, elle était propre et ne sentait pas le bouc. Enfin il se leva et alla chasser le mouton qui s'éternisait sur la corde, il aurait tôt ou tard réussi à la couper et le travail de l’habitant pour ficeler les bottes de foin aurait été vain. Un pied en dehors de l'écurie, le soleil avait perdu de sa luminosité, ce qu'il trouva bien étrange, avait-il vraiment dormit jusque là ? Pas étonnant, après réflexion, il était en piteux état à son arrivée. En tout cas, une chose était sûre, on s'était bien occupé de lui.
Il s'aventura maintenant sur le chemin qui faisait face à son dortoir à la recherche d'informations sur ce qui c'était passé, de plus, il devait une fière chandelle au propriétaire de l'écurie.

Admin Nombre de messages : 78 Date d'inscription : 14/01/2008

Le RP sera à présent masterisé par le Maître du Jeu plutôt que par Tali Ashen qui reste un personnage et non pas un MD malgré son rôle d'administratrice.

ps: peut être un petit post, mais il sera retravaillé et disposera de plus amples détails. J'préfère t'permettre de jouer dès qu'tu l'peux.

Il faisait chaud dans le petit village, mais la présence de l'oasis toute proche permettait d'adoucir l'air et d'hydrater un peu le vent. La pommade qu'on avait appliqué sur son corp lui avait réhydraté la peau et avait calmé ses brulures, ainsi il pouvait sentir sur son corp toute la douceur de l'environement. Dans sa toge immaculé, l'aasimar s'avença vers le centre du petit village, observant aux alentours, cherchant un signe de vie autre qu'animal et examinant par la même occasion la taille et la structure des lieux.
Il se trouvait peu de bâtiments et aucun ne paraissaient bien grand, il pouvait estimer la population au nombre d'une vintaine. Quand il arriva près du centre, il put constater la présence d'un puit et beaucoup d'activité prenait lieu là. De l'autre côté de la place, une petite église était établie.

L'aasimar sourit, le fait de voir à nouveau des personnes humaines autour de lui le soulagea, il trouva ce village quelque peu desert. Il vit que les activités allaient bon train devant le puit, c'est élan social était en leur faveur et cela l'intriguait, il se demandait ce qu'il pouvait tous faire rassemblés autour de ce puit. Bien que sa curiosité le poussait à aller voir, il se demanda s'il n'était pas plus sage de continuer son chemin et aller à l'église pour rendre hommage à Osiris qui avait dû l'aider durant la sinistre journee qui précéda. Il ne pouvait tout de même pas ignaurer tous ces gens et passer à travers sans s'arrêter, ce serait peut être mal vu, et puis il aurait le temps d'aller se recueillir plus tard dans la journée, c'est pour cela qu'il décida finalement de s'approcher lui aussi du centre pour savoir ce qu'il s'y passait.

edit Tali : Tu vas les foutre en italique tes actions ou pas bordel?!

Admin Nombre de messages : 78 Date d'inscription : 14/01/2008

Les quelques bédouins qui étaient occupés, Xéllérion s'en rendit compte en s'approchant, à remplir d'eau leur vieux sceau rouillé se rendirent compte de son arivée. Ils ne furent pas effrayés mais leur réaction fut surprenante et intimidante : ils lachèrent leur récipiant, s'arretèrent dans leurs occupations et tombèrent à genou.
Xéllérion n'était pas des derniers à aller prier et avait déjà bien fréquenté les églises humaines, de plus il comprenait quelque peu le mulorande de par ses voyages et saissait donc le sens de ce remue ménage : il le prenait pour un dieu ou un méssie, et ils étaient entrain de le louer et de louer les dieux.

Voila une situation bien embarassante pensait le jeune aasimar, il s'était écroulé a l'entrée de la ville, on l'avait recueillit, soigné, hebergé et maintenant on se prosternait devant lui ! Les questions se bousculaient dans sa tête, bien évidemment la situation était à son avantage et c'était comme un compliment qu'il prit le geste des mulhorandes à son égard. Il était très flatté de cet accueil mais il ne pouvait tout de même pas laisser le temps s'éterniser car il ne voulait pas que l'on croit qu'il avait un égo surdimentionné. Il s'adressa au peuple mulhorande afin de se démystifier :

- Levez vous, je vous prie ! Qui suis-je donc pour que vous m'offriez tant de choses et un tel dévouement ? Allons, levez vous, seul un Dieu devrait avoir de tels hommages, or ce n'est pas le cas ici, c'est à moi de m'incliner, vous m'avez sauvé la vie tout de même !

* Ahah, interessant....*

Xéllérion s'inclina en remerciement. Il se demandait si ce peuple lui reservait d'autres surprises comme celle la, mais à vrai dire, la réponse lui vient instantanement. Il était apparement considéré, comme quelqu'un de différent et de surment supérieur, ce qui ne le gênait pas plus que ça, car son égo s'en nourissait goulument et en redemandait presque. Il ne contait pas tirer partie de cette avantage tant qu'il n'en saurait pas plus et puis ce n'était pas le moment de commetre une erreur, il devait beaucoup à ces gens. Il aurait assurement d'autres traitement de faveur, d'apres l'importance qu'on lui accordait, et cela l'amusait, il ne savait vraiment pas ce qui pouvait lui arriver et cela éguisait sa curiosité et son impatience mais pour l'instant il se devait de rester sobre. La suite allait se révéler très riche en évènements.

Admin Nombre de messages : 78 Date d'inscription : 14/01/2008

Les habitants ne semblaient pas comprendre ses paroles, ou peut être ne voulaient ils pas l'écouter, trop persuader d'avoir affaire à un saint ou à un avatar. Ils psalmodiaient avec véhémence et sur leur visage, Xéllérion pouvait y lire de la joie et du réconfort. Alors qu'il les observaient le soleil dépassa l'église pour lui éblouir les yeux. S'il levait les mains pour se donner un peu d'ombre, il était tout de même satisfait de voir le bel astre s'élever. A présent il avait une idée de l'heure de la journée et cela pouvait l'apaiser.
Soudain une voie grave mais aimable se fit entendre. Elle portait loin et semblait attiser la flamme qui brulait dans le coeur des habitants. Xéllérion ne pouvait que distinguer la personne qui parlait, et celle ci descendait les marches de la petite église.

- Que Horus-Ré soit louangé, que ses actions soient humblement remerciées et que l'accueil à son envoyé soit bon.
Mes enfants ! Notre dieu a répondu à nos prières et nous a envoyé l'un de ses anges... NOUS ALLONS POUVOIR VIVRE EN PAIX !

Soudain tous hurlèrent de joie, jettant en l'air leur chapeau, claquant des mains, chantant et dansant entre eux. Certain s'approchaient de lui en rampant pour lui baiser les pieds et celui qui devait être le prêtre s'approchait de lui, toujours caché par la lumière éblouissante, son visage restant indicernable.

Xéllérion allait de surprise en surprise mais il s'y était attendu, vu la ferveur des personnes qui l'entouraient à son égard, il compris qu'il ne les ferait pas changer d'avis de si tôt.
Il recula quelque peut étant donné que certains était déjà à ses pieds, ce qui ne lui plaisait pas vraiment, ce n'était pas le genre de geste qu'il appréciait et qu'il aurait pu laisser en pature à son égo. Il était content de pouvoir rendre heureux autant d'habitants par le seul pouvoir de sa présence, mais il n'avait rien fait pour le mériter, et puis ces gens là avait l'air satisfait de bien peu de chose, s'il suffisait de la présence d'un étranger pour les émouvoir... Il était venu sur les terres de Faerun pour les purifier du mal et il ne semblait pas s'être installé ici, mais ce n'était peut être qu'une apparence car " Nous allons pouvoir vivre en paix " suggerait qu'il ne l'était pas déjà, et puis il avait pu constater depuis chez lui que les apparences sont souvent trompeuses ici, les gens sont fourbes et ont plusieurs visages.
Il ne voyait toujours pas, cette personnes qui descendait de l'église, les dieux avaient du juger bon de cacher son visage. A vrai dire, le jeune aasimar ne savait plus quoi en penser, il avait subit un tel retournement que son esprit devait saturer, une profusion de pensée lui traversait la tête de part en part, elles étaient tellement mal organisées et parfois contradictoires qu'il en avait mal à la tête.

* Bon sang, c'est à ne plus rien y comprendre, tout se passe trop vite...du calme, bon, voyons voir ce dont ils ont besoin... *

Apres tout, ils n'avaient pas l'air, agressifs ou malveillants, loin de là, et puis si lui pouvait leurs venir en aide, il le ferait mais il devait d'abord en savoir plus sur tout se remue ménage. Il attendit que celui qui avait parlé le premier précisa ces dires et lui explique ce pour quoi il semblait le vénérer, de tout façon il semblait venir dans sa direction.

Admin Nombre de messages : 78 Date d'inscription : 14/01/2008

Ceux qui trainaient sur le sol pour l'embrasser se redressèrent. Ils séchaient des larmes de joies et semblaient pret à perdre conscience. Les choses pouvaient parraitre étrange, voir completement démente, et à quelque chose pret c'était le cas. L'espoir qui coulait en eux à présent brisait leur raison et ils étaient alors véritablement fou de joie.
Le pretre qui était bien plus calme que les autres, mais tout aussi ému de voir un envoyé de son dieu s'avença et prit la main de l'aasimar. Il l'embrassa sur le dos la déposa sur le haut de sa tête et le supplia dans une posture des plus pitoyables.

- Vous etes venus balayé le mal qui nous tiens !
Horus-Ré a envoyé notre sauveur !

Xéllérion retira la main du prêtre de son front, il n'aimait pas se faire supplier.

- Je vous en prie mon prêtre relevez vous, Soyez sans crainte à présent. Je viens effectivement vous débarasser du mal qui peut vous tourmenter, ou vous, ou les autres d'ailleurs. Dites moi tout mon père, j'ai cru voir plus qu'une espérance, un soulevement assez incroyable, je dois l'admettre, de votre peuple. Que ce passe t-il donc de par chez vous ? Une telle attente d'un sauveur serait elle le présage d'une grande puissance malveillante dans vos contrées ? J'ose esperer que celle ci n'ait pas à la hauteur de la ferveur que prouve toutes ces personnes envers moi.

Il esperait que le prêtre allait enfin lui raconter ce qu'il se passe ici, le vénéré en tant que sauveur était gratifiant mais Xéllérion n'aimait pas que les choses s'éternisent, il voulait en savoir plus sur ce qui l'entour et de plus, il n'avait toujours pas pris contact avec le propriétaire de l'écurie, toujours pas récupéré ses affaires et était impatient de " juger " les escrots, voleurs, ou autres personnes malfaisantes.

Admin Nombre de messages : 78 Date d'inscription : 14/01/2008

Le père se redressa mais ne lacha pas la main de Xéllérion. A prèsent tous étaient concentrés sur eux deux, ils semblaient tous terriblement soulagé d'entendre ses bonnes paroles et au fur et à mesure ils se calmaient. Le pretre invita l'aasimar à le suivre dans l'eglise pour discuter plus au calme et laisser ses gens à leurs occupations.
Il somma à chacun de retourner au travail, de ne plus se faire de souci en affirmant que tout allé s'arranger. Il se dirigeait vers son batiment, tirant par la main le bon Xéllérion. Celui ci pouvait reconnaitre de la reconaissance sur le visage de chacun et un amour respectueux à son égar.
Lui et le pretre gravirent les marches pour pénetrer dans la petite batisse. Il y avait peu de banc, pas de chorale ni d'instrument de musique. Il ne s'agissait là vraiment que d'un lieu de recueillement pieux et sobre. Seul une grande verrière surplombant l'autel pouvait donner une impression de grandeur : le Soleil pénetrait là pour baigner toute la salle de sa chaleureuse lumière. Le nom d'Horus-Ré était bien sûr gravé par maintes endroits et les peinture murales représentants les anciens rites mulhorandes paraissaient plus vives et colorés que jamais.
Les habitants devaient tous passer beaucoup de temps en ces lieux et aimer le rendre grandiose. Ils devaient sincèrement adorer leur dieu, chose qui n'en était que plus respectable du fait de leur malheur, quel qu'il fut. Le pretre le mena vers une petite porte menant à ses humbles quartiers et l'invita à s'assoir pret d'une petite table. Il sortit deux vieux tabouret, puis se tourna vers ce qui devait être une cuisinière.
Il sortit des tasses et y déposa quelques plantes. Il remplit ensuite une casserole puis sortit de sous sa toge son symbole sacré. Il le caressa puis s'exprima étrangement :

Amdal'ako Subra Alhouara

La casserole se remplit soudain de plusieur litre d'eau sortit de nul part. Xéllérion conaissait bien la magie, il y avait baigné durant son enfance, mais sur Faerün il s'agissait peut être d'une des premières fois qu'il y avait à faire. Sans savoir pourquoi l'aasimar voyait la chose différente que sur son plan...

Hassoul Gadol Pralina'ah

Dans un foyer de la cuisinière une flamme se déposa, crachée des mains du pretre. Ce dernier déposa par dessus la casserolle d'eau, vérifiant que la flamme restait bien là, puis retourna à son invité. Il s'installa difficilement sur le tabouret, se tenant le dos dans une legère grimace.

- Je suis le pretre Amon Rabia, adorateur d'Horus-Ré et chef de ce village.
Je suis curieux et étonné de vous voir nous demander le mal qui nous ronge... Notre dieu vous a t il envoyé afin de combattre un mal qui vous est inconnu ?

Xéllérion avait suivi le prêtre sans avoir trop le choix, mais il allait pas se plaindre, il changeait d'environnement et eut plus ou moins le temps de regarder comment était faite l'église, de toute façon il devait s'y rendre, mais apparement le temps des prières n'était pas encore venu.
Il s'asseya sur le tabouret proposé qui n'était pas des plus confortables mais tout lui était offert alors il n'était pas question de se plaindre, il se vit offrir, de même, une tasse avec des plantes ce qui allait surment se transormer en tisane. Mais apparement l'eau et le feu manquaient, jusqu'a ce que l'homme, en quelques tour de magies, fit apparaître ces éléments, l'aasimar fut étonné de voir de la magie ici mais le prêtre devait en avoir, à l'évidence, quelques connaissances. Il esperait que ce n'était pas tout le monde qui y avait accès mais encore une fois la réponse fut évidente, à son plus grand malheur. De toute façon prier Horus-Ré était tout à fait recevable pas ne pas dire honorable, il n'y avait donc aucun risque que celui-ci en connaisse quelque chose, cela était même préférable. Mais ces paroles étaient plutôt étrange, il s'enquérit donc d'en savoir plus.

- Escusez moi mon père mais quel est ce language ? Où l'avez vous appris ? J'imagine qu'ici la magie n'est toujours utilisée pour de noble cause, cela est très ennuyeux...
Ensuite, pour répondre à votre question, je ne suit envoyé d'aucun Dieu, mon arrivée parmi vous dépend de mon unique volonté, ici les terres ont l'air d'être sinistrées et j'ai constaté un manque cruel de châtiment envers les impurs, c'est pourquoi je me suis désigné nouveau juge de Faerun.

Admin Nombre de messages : 78 Date d'inscription : 14/01/2008

Le vieil homme sourit. Il avait de belles dents gâtés mais malgré cela il dégadeait une sensation de sereinité et de charité. Sans trop être psychologue, Xéllérion pouvait aisement ressentir la bonté de ce personnage, et il ne pouvait qu'en être apaisé. Comme il avait put le voir, les hommes comme celui ci se faisait fort rare.
Le pretre de pencha en avant, présentant son symbole sacré au jeune aasimar puis lui expliqua avec patience et atteniton :

- Il s'agit là d'invocation divine, de prières faites en ancien mulhorande. Notre dieu, Horus-Ré, dans son immense bonté, nous confère de sa puissance pour aider nos âmes misérables et nos corps apauvris.

Si Xéllerion ne connaissait pas vraiment comment la magie divine fonctionait, il en avait déjà vu à l'oeuvre depuis son plan, la majorité des célestes préférant celle ci à la magie dite profane. Cette seconde lui semblait bien plus étrange, surnaturel voir mauvaise que celle issue de la puissance divine.
Le vieillard se leva de sa chaise pour se diriger vers l'eau qui commençait à bouillir. Avec l'aide de ses deux mains, et doté de toute la dextérité d'un homme de son âge, le pretre versa l'eau chaude sur les feuilles pour que l'ensemble se mélange et offre à tout deux un liquide gouteux et déshaltérant. Il posa la casserolle et se rassit. Il fit tourner un moment ses feuilles dans l'eau pour aider à l'infusion puis releva les yeux vers le demi-céleste.

- Quoi que vous pensiez, c'est bien Horus-Ré qui vous a mené sur cette route et permit d'accomplir la tâche que vous vous étes fixée. Votre noble coeur ne peut être que guidé par un dieu aussi bon et puissant que le notre.

Il saisit sa tasse à deux mains et souffla sur le liquide pour le faire tournoyer gracieusement. Il en prit quelques gorgées brulantes et son visage afficha la satisfaction de la réalisation d'un plaisir simple. Ses yeux se perdirent alors dans le vague, et son visage se fit grave. D'une voix lourde il expliqua :

- Depuis des mois déjà, une troupe d'orque venu de l'est débarque souvent dans l'oasis pour piller nos ressources, voler notre bétail et s'emparer de l'eau stockée.
Plus les choses vont et plus cela devient dur pour nous... Nous avons essayé de combattre mais la demi-douzaine de bête de guerre infâme qu'ils sont ont toujours raison de nous, pauvres paysans. Nous avons perdu dix hommes. Les plus braves de tous, paix à leurs âmes, qu'Osiris les protégent.

- Et bien mon père, je vous aiderais volontier à lever cette menace, j'ai hâte de pouvoir commencer ! Cependant je ne peux surement pas me débarasser de cette troupe d'orque à moi tout seul, à moins d'une intervention divine je vais devoir m'appuyer sur quelques braves volontaires pour pouvoir m'escorter et me preter mains fortes pour venir à bout de ces malandrins. Et puis, maintenant que j'y pense, je n'ai pas un sous en poche, les seuls bien que je possède sont mes vêtements et ce n'est surement pas en les étranglants avec mes chaussettes que j'aurais le plus de chance de parvenir à mes fins !

Xéllérion était tellement enthousiaste à l'idée de commencer dans cette quête qui se revêlera surement interminable, étant donné ses observations, qu'il se mettait même à plaisanter avec son prêtre. Ce n'était pas que son sourire jaunâtre lui manquait mais sa bonne humeur débordait quelque peu et rire n'avait jamais tué personne. Il buva quelque gorgée de l'infusion qu'il alterna avec l'attention qu'il devait porter à l'histoire que lui racontait le viel homme et pensait que c'était un bon moyen pour se faire de l'argent, lui qui n'avait rien en poche. Deux options s'offraient à lui, au pire des cas il pouvait peut être tirer quelques pièces des orques une fois cette première quête achevée, au meilleur des cas, il pourrait cumuler ces éventuelles gains avec un complément du prêtre. Quoi qu'il en soit il était partant.

Admin Nombre de messages : 78 Date d'inscription : 14/01/2008

Le pretre semblait pensif. Peut être même un peu peiné. Il semblait bien dérangé par quelque chose mais ne semblait guère vouloir en parler. Pourtant, se rappelant de la présence d'un émissaire des dieux, il se ressaisit et répondit donc au jeune aasimar :

- Comme je vous l'ai expliqué, les meilleurs de nos hommes sont morts en essayant de défendre le village. Il ne reste que des femmes, des enfants et des vieillards... et les autres hommes ne sont que des couards.

Il semblait par là être bien attristé, lui le pretre du dieu de la Lumière, du Soleil et de la Justice. Il était logique et compréhensible que de voir des hommes prier Horus-Ré et baisser les yeux face aux ténèbres du mal pouvait lui ronger le coeur. Il ne devait plus que voir en eux de simple hypocrite. Buvant une longue gorgé de son infusion il enchaina :

- En outre nous ne disposons d'aucune arme, nous ne sommes que des paysans.
J'essairai tout de même de trouver un outil pour le bras de votre Justice, mais soyez sûr que vous devrez partir seul.

Il but une gorgée supplémentaire et sembla arriver à terme de sa concoction. Il se leva et récupéra les tasses vides pour les mettres dans un panier en osier avec de la vaisselle salle. Il se tourna vers le jeune héro avec un leger sourire, peut être voyait il son espoir s'amenuiser tandis que l'aasimar avouait ses faiblesses techniques et materiels. Pourtant en son coeur il continuait d'y croire, il jugeait qu'un homme aux cheveux et à la peau d'or, doté des premices d'ailes ne pouvait être que la réponse à leur priaire, et que quoi qu'il fut, Horus-Ré veillerait sur ce dernier.

- Nous avons laver vos vêtements, retournez dons à l'étable et vous pourrez les récuperer. Pendant que vous vous préparerez j'irai demander de quoi vous armer auprès de mes gens.
Vous pourrez demander n'importe quoi à Salem, le patron de l'écurie, il vous aidera.

Il invita alors le jeune et fougueux personnage à gagner la porte, posant aimablement une main sur son épaule gauche.

Après tout, cela n'était pas plus mal de partir seul, il pourrait prouver ses aptitudes au combat autant à lui même qu'aux autres et de plus, si les orques possédaient quelques fortunes, il pourrait alors renflouer les caisses et serait le seul à pouvoir prétendre à ces éventuelles trouvailles. C'était l'occasion pour lui de pouvoir ce munir de vraies armes car il allait surment hériter d'une pelle ou d'une fourche, pourquoi pas une faux, quoi qu'il en soit ce serait un outil de paysan dont il n'aurais surment pas la maîtrise.
Xéllétion fini son breuvage et fit accompagné par le prêtre jusqu'a la sortie, il davait maintenant aller récuperer ce qui lui appartenait.

- Je suis désolé pour ce qui est arrivé à votre personnel, toutes mes condoléances, ces maudites bestioles paieront cette affront !
Je vous remercie pour votre hospitalité et pour les informations qui vous venez de me communiquer, l'aide que vous m'apportez n'est pas vaine.

Il ne savait encore pas avec quoi il allait les taillers en pièces mais une chose était sûre, même avec une fourchette dans chaque main il se debrouillerait pour réduire ses ennemis en charpie, la justice est bien au delà de toutes ses pacotilles.
Il rebroussait maintenant chemin pour retourner à l'écurie qui l'avait abrité, il n'avait pas oublié qu'il devait remercier son propriétaire apparement nommé Salem.
Le temps passait et l'heure de son combat approchait, il était plein de courage et d'ambition, il se sentait presque invincible, il allait faire ses preuves et rien ne pourrait l'arrêter. Il remuait tout cela en chemin et l'adrenaline montait à mesure qu'il se rapprochait du but.

Admin Nombre de messages : 78 Date d'inscription : 14/01/2008

Le vieil homme qui tenait l'écurie semblait ravi de l'accueillir et il le salua avec vigueur et joie. Il lui apporta ses vêtements tout propre, avec le soleil tappant ils avaient put sécher aisement et il lui laissa de plus une outre d'eau pleine. Evidement il s'agissait là du minimum necessaire si l'on voulait parcourir quelques kilometres dans le desert. Aimable et serviable comme pas deux, le vieux mulhorande s'enquit de savoir si le jeune aasimar avait besoin d'autres choses pour son périple, il se faisait la promesse de se debrouiller pour lui apporter.

Xéllérion reprit ses affaires que lui tendait le vieil homme, ils avaient surement été lavés avec la plus grande attention et était d'une propreté irreprochable. Il s'adressa maintenant à son sauveur :

- Tout d'abord je dois vous remerciez pour tout ce que vous avez pu faire pour moi autant pour l'hebergement que pour l'attention que vous avez portez à mon égard et à celle de mes affaires. Je vous suis reconnaissant pour la sympathie et la générosité dont vous faites preuves et sans vouloir abusez de votre bienfaisance j'aurais, en effet, besoin de quelques affaires.
Tout d'abord j'aimerais avoir, dans la mesure du possible, un sac à dos et quelques mets pour me substanter durant mon voyage ainsi qu'une arme ou quelque chose pouvant s'y apparenter, votre prêtre s'atelle déjà à cette tâche mais ne m'a pas garantie son succès j'ai donc pensé qu'en mutipliant les recherches j'aurais un meilleur rendu quant à ma requête. Biensur, si vous avez aussi de quoi me faire une armure ou une ébauche qui saurait me protéger mieux que mes habits actuels je suis aussi preneur.
De même, j'aurais bien besoin de quelques quelques description sur ce désert, je connais à peine les lieux, vous devez bien avoir quelques conseils à me donner ou quelques règles de survie indispensables que je doive connaitre à me communiquer.

Admin Nombre de messages : 78 Date d'inscription : 14/01/2008

Le vieil homme écouta attentivement les paroles du jeune aasimar, puis reflechit un instant.

- Je peux vous trouver un sac et un peu de nourriture.

Il se précipita vers sa maison et en revint quelques minutes plus tard avec un sac en peau de chameau à moitié rempli de vivre. A vu d'oeil avec cela il pourrait tenir deux jour, pas vraiment plus et l'outre d'eau pleine ne lui permettait pas non plus de voyager plus de trois jour sans voir un nouveau point d'eau. Le patron de l'écurie donna le sac à Xellerion et alors qu'il allait commencer à parler du desert, le prêtre vint à eux.
Il tenait dans une main un gourdin en assez bon état et un hache pour couper la viande relativement entretenue, avec une lame bien aiguisée. Il se dirigea directement vers l'aasimar, constatant que celui ci se préparait déjà pour le voyage. Il lui tendit les deux armes et lui expliqua :

- Je n'ai pas put trouver mieux. Nous ne sommes pas des guerriers vous savez. En tout cas celle ci pourrait faire l'affaire je pense.

Il inspecta le sac de provision puis soupesa l'outre d'eau. Il plongea ensuite son regard vers le lointain ; vers l'est du desert en fait.

- Nous savons que les orques arrivent de ce côté ci. Ils viennent à pied la plupart du temps et repartent avec leur pillage sur le dos. Nous supposons qu'il ne sont pas à plus de deux ou trois jour de marche.

- Merci à vous deux pour tous les efforts que vous avez fait cependant, il y a un petit problème me semble t-il, vous m'avez donnez assez de nourriture pour l'aller apparemment, mes questions sont donc les suivantes : Comment vais-je faire pour le retour ? Pourrais-je me ravitailler là bas ?

Xéllérion était en train de ce demander comment il allait pouvoir faire pour survivre après son voyage, l'envoyait-on a la morgue ? Les Mulhorandes cachaient-ils quelque chose ? Le respect qu'ils lui avaient montrés n'étaient pas simulé, il était donc impensable que la probabilité d'un coup monté soit envisageable, ils étaient trop honorables pour cela. Malgré ces pensées, il se demandait pourquoi ne lui fournissait-on que la nourriture suffisante pour un aller, pouvait-il avoir la certitude de trouver de quoi se nourrir là bas ?
Hormis ces quelques inquiétudes, l'aasimar était heureux de partir enfin à l'aventure, l'idée de pourfendre le mal qui jonchait ces terres le rempli d'allegresse et de satisfaction. Cependant il n'avait pas eu de réponse à toutes ses questions, devait-il en conclure une réponse négative ou tout simplement ne pas s'en soucier ? Après tout ce n'est pas une bande de vaurien qui allait pouvoir l'arrêter, il ferait sans. Il pris les armes que le prêtre était aller lui chercher, testa leur prise en main et les examina quelque peu, il les parcoura du regard pour en prendre conaissance et les adopta.

* Haha, à la guerre comme à la guerre...j'aurais pu les massacrer avec moins que ça, cela dit j'aurais préféré une épée et un bouclier mais bon je ne vais pas me montrer trop exigent avec ces gens là... *

- Eh bien messieurs, y a t-il quelque chose que je doive savoir avant de partir ? N'auriez vous pas une carte et une boussole par hasard ? Ce sont les amis les plus fidèles de l'aventurier solitaire il paraît, sans compter les vivres biensûr !

Admin Nombre de messages : 78 Date d'inscription : 14/01/2008

Le prêtre sortit de sa poche un compa et une boussole il les tendit au jeune aasimar en lui souriant.

- Il est vrai que dans l'éventualité où les orcs ne disposeraient pas d'assez de vivre pour vous permettre de revivre, les choses seraient assez mauvaises pour vous...

Il sembla reflechir un instant puis dit :

- Nous allons vous fournir un chameau.. mais il vous faudra nou le ramener. Ils nous sont vitaux.

Xéllérion fut assez stupéfait, le prêtre avait une boussole et un compas dans la poche et il ne lui avait même pas donné ! Qu'attendait-il ? Qu'on lui réclame ? Aurait-il envoyé le jeune aasimar sans rien si celui ci ne lui avait pas demandé ? Cela jeta un froid dans l'esprit de l'aventurier, ce sourrir que lui fit le viel homme en lui donnant l'objet de sa requête pouvait lui paraître blindé d'hypocrisie, cette négligence aurait pû déclencher la colère du jeune enfant céleste mais il n'en fit rien. Il avait tout de même du mal à croire qu'on aurait pû l'envoyer dans le desert si prématurement alors qu'il leurs rendait service. Sa colère allait lui être utile plus loin dans sa quête inutile qu'il la laisse éclater ici.
Au fur et à mesure qu'il demandait des renseignements, il y gagnait du confort et il en aurait bien besoin. il était apparemment fin pret à partir et disposait du minimum vitale pour accomplir cette mission, il demanda donc au prêtre de lui indiquer où prendre son chameau et dans quelle direction partir.

Admin Nombre de messages : 78 Date d'inscription : 14/01/2008

C'est le patron de l'écurie qui lui répondit et l'accompagna jusqu'à l'une des créatures. Il semblait ravi de le voir pret à partir, de le savoir aller accomplir la quête qui les sauveraient. Il ne parlaient pas mais semblaient vraiment joyeux. Il aida Xellerion a grimper sur la créature puis le salua, laissant l'aventurier prendre les reines.
Le prêtre vint à lui et désigna la direction à prendre. Loin vers l'est, dans le desert.