Les Royaumes Oubliés Forum de RP sur le monde des RO |
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| Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante | |
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Auteur | Message |
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Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
Nombre de messages : 216 Age : 35 Localisation : Desert de Mulhorande Age du perso : 22ans Travail : Assistant écclésiastique Date d'inscription : 30/03/2008
Feuille de personnage Point de Vie: (13/13) Point d'Expérience: (525/3000) Classe: Paladin
| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Lun 29 Juin - 22:06 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
Nombre de messages : 119 Age du perso : 20 ans Travail : aucun Date d'inscription : 04/04/2008
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Lun 29 Juin - 23:55 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mar 30 Juin - 12:34 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mar 30 Juin - 13:44 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées
Dernière édition par Kaéryelh Wyûhzem le Mar 30 Juin - 22:45, édité 1 fois | |
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mar 30 Juin - 16:20 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mar 30 Juin - 22:50 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. | |
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Feuille de personnage Point de Vie: (13/13) Point d'Expérience: (525/3000) Classe: Paladin
| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mer 1 Juil - 1:06 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
Nombre de messages : 119 Age du perso : 20 ans Travail : aucun Date d'inscription : 04/04/2008
Feuille de personnage Point de Vie: (7/7) Point d'Expérience: (0/500) Classe: /
| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mer 1 Juil - 23:07 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
Nombre de messages : 216 Age : 35 Localisation : Desert de Mulhorande Age du perso : 22ans Travail : Assistant écclésiastique Date d'inscription : 30/03/2008
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Jeu 2 Juil - 13:02 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Jeu 2 Juil - 14:50 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Sam 4 Juil - 11:56 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Sam 11 Juil - 23:31 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
Nombre de messages : 216 Age : 35 Localisation : Desert de Mulhorande Age du perso : 22ans Travail : Assistant écclésiastique Date d'inscription : 30/03/2008
Feuille de personnage Point de Vie: (13/13) Point d'Expérience: (525/3000) Classe: Paladin
| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Jeu 16 Juil - 15:49 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Jeu 16 Juil - 19:03 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
Nombre de messages : 216 Age : 35 Localisation : Desert de Mulhorande Age du perso : 22ans Travail : Assistant écclésiastique Date d'inscription : 30/03/2008
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Sam 18 Juil - 10:09 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Sam 18 Juil - 13:26 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Lun 20 Juil - 20:34 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : | |
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mar 21 Juil - 1:53 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong | |
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Feuille de personnage Point de Vie: (13/13) Point d'Expérience: (525/3000) Classe: Paladin
| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mar 21 Juil - 20:43 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'appretait | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mer 22 Juil - 1:12 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'appretait à donner | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
Nombre de messages : 216 Age : 35 Localisation : Desert de Mulhorande Age du perso : 22ans Travail : Assistant écclésiastique Date d'inscription : 30/03/2008
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Mer 22 Juil - 12:42 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'appretait à donner un concert privé | |
| | | Kaéryelh Wyûhzem Humain de niveau 0
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Jeu 23 Juil - 21:44 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'appretait à donner un concert privé de pâte à modeler | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
Nombre de messages : 216 Age : 35 Localisation : Desert de Mulhorande Age du perso : 22ans Travail : Assistant écclésiastique Date d'inscription : 30/03/2008
Feuille de personnage Point de Vie: (13/13) Point d'Expérience: (525/3000) Classe: Paladin
| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Ven 24 Juil - 14:13 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'appretait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak | |
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| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Ven 24 Juil - 15:14 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'appretait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés | |
| | | Xéllérion Parresias Aasimar de niveau 1
Nombre de messages : 216 Age : 35 Localisation : Desert de Mulhorande Age du perso : 22ans Travail : Assistant écclésiastique Date d'inscription : 30/03/2008
Feuille de personnage Point de Vie: (13/13) Point d'Expérience: (525/3000) Classe: Paladin
| Sujet: Re: Le Jeu du Paragraphe Dénué de Fin Apparante Ven 24 Juil - 21:16 | |
| Sur la colline rocheuse, avec vue sur le port, était bâtie comme un âne, une tour séculaire. Du haut de celle ci, telle le toit du monde, un unijambiste se pelait une pomme en marmonnant un petit refrain : "Viens pour un p'tit coup à la maisooon ! Y a du rouge, du blanc et du saucisson!". Le vieux goutteux qui n'avait plus toutes ses dents, pensait maintenant à une bonne tartiflette, spécialité culinaire de feue sa grand mère la jonquille masquée. Sa sépulture fut tristement oubliée des mortelles bombes atomiques qui dévastèrent l'épicerie voisine. Le vieillard, aveugle et moitié sourd, à cause de la branlette, avait été rejeté à grands coups de sabots dans l'derrière sur le sentier désert. Il devait la vie à sa peluche, à l'effigie de Charles de Gaulle, qui l'avait défendue façon David Douillet contre l'agrafeuse maudite inventée par ses délires paranoïaques. Les chemins de la vie lui avaient été tortueux, à l'instar de Maître Splinter le grand écuyer de canard wc, fidèle servant de la propreté, qui en avait vu de toutes les couleurs. Néanmoins ce matin là, il s'était brossé les dents avec la dite agrafeuse qui l'avait supplié avec humilité et un bouquet de roses. Il avait utilisé pour dentifrice de la merde de marsouin qu'il avait assaisonné avec quelques épices arabes. Il était finalement fin prêt à s'habiller de son costume cérémonial décoré avec des petits nounours tout en dentelle que lui avait tricoter mamy huguette, une prostituée de renom qu'il avait connu à Perrache avant la fin du début de l'apogée du commencement de la cueillette des bananes mûres. Cette sinistre époque avait été synonyme de relâchement, et le gouvernement cambodgien avait pourtant arrosé les fleurs qui poussaient sur un astéroïde en bordure de Jupiter. Depuis ce temps, et deux ou trois fois avant aussi, l'astéroïde s'était mis a pleurer pour arroser les plantes de ganja et de datura synthétique. On ne savait toujours pas pourquoi ils se droguaient aussi peu, mais Bergson et Einstein en tenaient une sacré couche de marque pampers pour troisième âge. Cependant, ce commerce très lucratif basé sur la manufacture schtrompf, n'était pas très honnête du fait qu'il embauche de jeunes et orphelins cookies qui s'émiettent à faire leur boulot correctement sous la chaleur infernale du pôle sud. D'un autre coté il était chanceux, car la cocaïne que sniffaient les marsouins enragés les rendaient beaucoup plus athlétiques ! Quant à John, boitant avec difficulté du fait de sa jambe en polyester de triméthylchlorodiéthylcyclo-hexane enrichi (matière déposée par les laboratoires Garnier), il ne parvenait pas à retrouver son oeil de verre. Cela faisait 3ans que son caleçon l'irritait violemment et qu'ainsi les nombreux vers niveau 6 aimaient a se nourrir de toutes les infamies, dont on ne citera pas le nom, qui voyageaient à loisir dans la cité de Caleçon. Mais le poisson, depuis son tout jeune âge ne savait que faire de ses plumes qui devenaient envahissantes. Elles lui permettaient cependant de manger les champignons cueillis à Tchernobyl et qui donc par conséquent et en outre devaient pouvoir attirer les citrons jaunes de la bataille qui ne pouvaient cuire sur notre grill. On avouera facilement que la douane se brossait les dents avec nonchalance, ce qui fit bonne figure sur le dentifrice qui commençait à ternir. Grâce à cela, les big mac de macdo, aidés par MacGyver, se doraient la pilule contraceptive achetée par Ronald Mac Donald pour lutter contre le mal de tête qui prenait d'assaut les nuggets. Pendant ce temps, chez le petit poucet, poussaient de petits géraniums dont les pétales ignoraient tout de la croisade, ce qui n'était pas pratique pour les vers de terre. Les chevaliers haricots, eux, s'étaient parés de leurs plus belles armures, pour aller compter fleurette aux paquerettes qui poussaient comme du chiendent dans la vallée maudite. Cette malédiction s'abattait sur quiconque sentait le pain d'épice fabriqué à l'ancienne par la laitière. Cela consistait en peu de choses : en effet, sur la planète Mars vivaient des éponges qui n'absorbaient pas les peaux de banane gazéifiées au protoxyde d'azote non métabolisé. On pouvait donc conclure (de cette observation clinique) qu'un astéroïde avait dû faire volte-face pour se retrouver dos à dos avec la petite amie de buzz l'éclair au chocolat qui était en train de fondre. Puis, il y eut une apparition : c'était Neil Armstrong, ce dernier s'appretait à donner un concert privé de pâte à modeler à Goldorak & Associés afin de démontrer | |
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